L'omniprésence des drones et des missiles guidés dans le ciel du front ukrainien rend les armes de guerre électronique absolument déterminantes. Chaque camp fourbit ses propres technologies. Dans ce domaine, la coopération de Kiev avec ses alliés est cruciale, comme a pu le constater Intelligence Online sur place.
Les dronistes ukrainiens, qui cherchent à sortir de la dépendance au "Made in China", se tournent vers cette société qui fournit des systèmes électroniques et des logiciels compétitifs et efficaces.
Afin de contrer l'omniprésence des moyens russes de guerre électronique sur la ligne de front, la start-up ukrainienne Falcons mise sur la géolocalisation de ces systèmes pour mieux les frapper.
Adam Bry, le dirigeant du droniste américain Skydio, multiplie les initiatives en Ukraine afin d'approfondir le partenariat qui lie son entreprise aux forces spéciales (SSO) et tester ses dernières innovations technologiques.
L'américain Thor Dynamics teste en Ukraine ses solutions de lutte anti-drones combinant intelligence artificielle (IA) et technologies laser de nouvelle génération. La société veut amorcer un changement de paradigme dans ce domaine sur le champ de bataille ukrainien.
Intelligence Online a exploré le "marché de la radio" de Kiev, lieu unique en son genre où l'on croise revendeurs de technologies d'interceptions, dronistes ukrainiens, volontaires internationaux et sécurocrates en quête de technologies peu coûteuses et de services sur mesure.
L'institut Saint-Louis, cotutelle entre les ministères de la défense français et allemand, s'active à l'aune du théâtre ukrainien pour développer de nouvelles technologies disruptives dans le domaine des drones, des interceptions et de l'IA.
Le finlandais Gim Robotics teste un dispositif pour la navigation des systèmes autonomes terrestres et aériens d'Intelligence, Surveillance & Reconnaissance (ISR) fortement imprégné des retours d'expérience ukrainiens.
Les entreprises chinoises de l'anti-drone cherchent à conquérir de nouveaux marchés dans le "Sud global". Le fait que leurs technologies soient reconnues "combat proven" sur le front russo-ukrainien fait figure d'argument commercial de taille.
Sur fond d'inquiétudes quant aux mouvements russes dans la zone, la bataille de renseignement tactique qui se joue entre la Russie et l'OTAN touche par contrecoup les aéroports estoniens. Mais les cibles réellement visées sont ailleurs.
Afin de bloquer la production de carburants stratégiques pour missiles de Moscou, les ingénieurs du GUR créent des drones d'un nouveau genre.
L'armée russe déploie des nouvelles technologies pour reprendre ses frappes à grande échelle sur les principaux centres urbains ukrainiens.
Afin de compenser leur infériorité numérique et structurelle à la suite de lourdes pertes subies dans la bataille d'Avdiivka, les forces armées ukrainiennes cherchent à uniformiser leurs équipements et leurs pratiques.
À la suite de la capture, la semaine dernière, d'un drone kamikaze de fabrication russe, le GUR s'est lancé dans une étude minutieuse de l'appareil. Les informations récoltées serviront à la lutte contre les filières d'approvisionnement de Moscou en technologies occidentales.
La start-up Flightmind AI teste actuellement un algorithme d'intelligence artificielle censé permettre aux drones ukrainiens dits First-Person View de pouvoir voler sans subir les brouillages intensifs russes du signal GPS.
Les services britanniques poussent les technologies de liaison de données durcie pour drone first person view (FPV) de l'entreprise américaine DTC auprès des start-ups ukrainiennes.
Pour faire face à la nuée de drones ukrainiens low cost bricolés qui lui infligent de lourdes pertes, l'armée russe teste sur la ligne de front une nouvelle version de son Orlan-30B dédiée à la guerre électronique.
Le renseignement militaire ukrainien a développé une nouvelle gamme de drones dans les sous-sols de Kiev. Ils sont capables de brouiller les radars de défense aérienne et les moyens de guerre électronique russes chargés de la protection des infrastructures sensibles.
Les services de renseignement européens sont en alerte suite à la montée en puissance du dispositif d'interceptions Tobol dans l'enclave de Kaliningrad.
L'omniprésence des drones et des missiles guidés dans le ciel du front ukrainien rend les armes de guerre électronique absolument déterminantes. Chaque camp fourbit ses propres technologies. Dans ce domaine, la coopération de Kiev avec ses alliés est cruciale, comme a pu le constater Intelligence Online sur place.
L'omniprésence des drones et des missiles guidés dans le ciel du front ukrainien rend les armes de guerre électronique absolument déterminantes. Chaque camp fourbit ses propres technologies. Dans ce domaine, la coopération de Kiev avec ses alliés est cruciale, comme a pu le constater Intelligence Online sur place.
