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Les services de police boudent plus que jamais la plateforme des interceptions judiciaires

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PNIJ : le ministère de la justice peine à imposer sa plateforme d'interceptions, boudée par les enquêteurs

L'Agence nationale des techniques d'enquêtes numériques judiciaires (ANTENJ) et le ministère français de la justice tentent de limiter le contournement de la Plateforme nationale des interceptions judiciaires (PNIJ). Face à l'amélioration des solutions des prestataires privés, des modules sont développés en interne et la pression est mise sur les magistrats pour les inciter à recourir à la PNIJ.

La Watchlist technique
Préconisation du comité Going Dark, Addevice sur les marchés sécurité, Michael Weigand quitte Shift5

Du SIGINT au GEOINT en passant par l'OSINT, sans oublier le cyber : chaque jeudi, les petites et les grandes histoires – nominations, contrats, etc. – des prestataires en renseignement technique.

BruxellesLe comité de l'UE sur l'accès aux données par les forces de l'ordre préconise la coopération musclée avec les plateformes de messagerie plutôt que l'intrusion

ErevanAddevice s'attaque au marché de la sécurité

WashingtonLe cofondateur de Shift5, Michael Weigand, se lance en solo

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Les angles morts de la plateforme d'interceptions judiciaires

Malgré les efforts réalisés pour la rendre opérationnelle, la Plateforme nationale des interceptions judiciaires (PNIJ) souffre encore d'importants défauts, relevés par un rapport sénatorial.

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Interceptions judiciaires : les gendarmes, premiers utilisateurs devant la police

En 2022, plus de 46 000 interceptions judiciaires et 2,9 millions de réquisitions électroniques ont été demandées via la Plateforme nationale des interceptions judiciaires (PNIJ). La gendarmerie est le service d'enquête qui fait le plus appel à cette dernière.

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La justice française veut une solution souveraine pour ses interceptions

Afin d'éviter les écueils de sa première plateforme d'interception, la PNIJ, le ministère de la justice prépare un cahier des charges pointilleux, qu'il destine à des industriels français triés sur le volet.