Les services français de renseignement veulent garder la main sur les fichiers de souveraineté tout en maintenant à distance le contrôle de la CNCTR qui, elle, cherche à en obtenir un droit de regard exhaustif.
Pour employer de la main-d'œuvre nord-coréenne malgré l'interdiction de l'ONU, le Kremlin fait preuve d'inventivité. Intelligence Online a remonté la trace d'un système de visas d'études rodé permettant d'enrôler plusieurs milliers de ressortissants de Pyongyang.
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Pour le premier ministre travailliste, qui avait vanté son parti comme celui de la sécurité nationale durant la campagne électorale au Royaume-Uni, les dossiers du renseignement font figure de test. À commencer par la nomination des parlementaires en charge du contrôle des agences.
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En pleine période de tempête diplomatique avec Paris, Bakou préfère ne pas communiquer sur de nouveaux contrats passés avec des industriels français de l'énergie. La solution ? Miser sur les relations bien moins houleuses entre l'Azerbaïdjan et l'Italie, ardent soutien des projets gaziers trans-adriatiques.
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Invité à intervenir lors d'un récent symposium occidental sur la lutte contre les manipulations de l'information, OpenAI a délivré une présentation partielle de ses activités qui n'a guère rassuré les acteurs du secteur.
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Les recherches de liens avec l'appareil politique et sécuritaire russe font partie intégrante des activités d'Orbis. Mais outre le désormais célèbre "dossier Steele" contre Donald Trump, le cabinet a effectué des enquêtes de ce type sur des donateurs du parti conservateur britannique.
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Paris observe discrètement le déploiement de drones sous-marins d'Intelligence, Surveillance & Reconnaissance (ISR) de Tsahal au large du sud-Liban. Entre craintes de frappes de rétorsions contre ses champs gaziers offshore, surveillance des moyens navals du Hezbollah et opérations de ciblage contre des cibles terrestres, Tsahal mobilise sa flotte fantôme des profondeurs.
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