Le diplomate Patrick Maisonnave prendra ses fonctions à Riyad en septembre dans un contexte difficile : la relation entre la France et l'Arabie saoudite est au point mort et de nombreux dossiers industriels et commerciaux sont en souffrance.
Pour organiser à Bruxelles leur tribunal d'opinion destiné à dénoncer la répression de la rébellion par Manille, les communistes philippins ont exploité la veine "anti-impérialiste" européenne. En fédérant les soutiens, ils espèrent s'assurer une meilleure position dans les négociations de paix à venir avec le pouvoir.
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Le groupe français pense être en pole position pour fournir à Riyad un lot de ses systèmes de défense antiaérienne. Pour se remettre dans les bonnes grâces du royaume, Thales s'est discrètement écarté des réseaux historiques de la France en Arabie saoudite.
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L'Union européenne prépare son grand retour à Kaboul, désormais aux mains des Talibans. Elle cherche auparavant à s'assurer de sa sécurité sur place, une gageure au vu du contexte politico-sécuritaire.
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Les experts en guerre électronique du Nordefco ont récemment défini, à huis clos, une feuille de route précise des actions conjointes de leur pays dans ce domaine. Il s'agit de permettre à leurs unités spécialisées de juguler la menace que font peser les moyens SIGINT de Moscou à leurs frontières.
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